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Je me porte candidat au Comité exécutif seulement à défaut de candidats francophones plus jeunes et mieux armés pour animer l’association. Outre mon âge – je suis né en 1945 – je ne suis en effet qu’un critique amateur, n’ayant jamais reçu la moindre rémunération pour mes critiques, sauf si l’on compte les invitations aux spectacles. Cela étant, les titres que je pourrais faire valoir sont les suivants :
En tant que membre de l’AICT :
En tant que critique :
je suis l’auteur de très nombreuses critiques
Ces critiques sont publiées dans les revues « papier » Esprit (France) et Antilla (Martinique) ou, sur internet, sur Critical Stages, Mondesfrancophones.com ou Madinin-art.net.
J’ai ainsi publié au moins un article par an depuis 2014 sur Critical Stages.
La liste de mes publications « théâtre » sur tous les supports de 2012 à 2021 (je n’ai pas plus récent sur l’ordinateur que j’utilise pour écrire cette déclaration) compte environ 500 articles (dont beaucoup, ceux qui rendent compte du festival d’Avignon, concernent deux ou plus souvent trois pièces). Voir le document joint. Je me considère donc comme un critique expérimenté mais qui reste un amateur, non seulement parce que non rémunéré pour ce travail mais encore parce je ne suis pas diplômé en études littéraires, encore moins en études théâtrales.
Amateur je le suis également en tant que comédien dans une troupe martiniquaise et même en tant qu’auteur (Le Déparleur, un monologue que j’ai interprété moi-même au festival d’Avignon en 2022).
Si je suis élu, il me paraîtra naturel de porter une attention particulière aux difficultés des critiques amateurs.
Dernière précision : je peux m’exprimer en anglais.
P.J. Critiques théâtrales de Selim Lander