La Géorgie est un petit pays mais ces derniers temps elle a contribué activement à la vie culturelle en Europe et dans le monde. Nos contacts avec l’AICT étaient intenses. Notre section a organisé 3 réunions du Comex et 5 conférences. Nos projets, initiés avant la pandémie, ils seront mis en œuvre avec l’accord du nouveau Comité. Rappelez-vous avec quelle plaisir nous invitions nos collègues de l’AICT au festival International de Tbilissi. Dès que cette pandémie prendra fin nous reviendrons à cette tradition en élargissant la géographie de vos visites.
La Géorgie est située à un carrefour entre l’Europe et l’Asie, ce qui nous a causé dans le passe bien de désagrément. Aujourd’hui ce carrefour pourrait devenir notre atout – un espace ouvert aux rencontres de nos voisins: l’Arménie, le Kazakhstan, la Turquie, l’Iran, l’Azerbaïdjan, L’Ukraine, pays Baltes et de toute la communauté théâtrale. La preuve en est 5 ‘’Ponts Culturels’’. Nous espérons qu’après Bratislava le congrès suivant pourrait se tenir en Géorgie. Vous savez que selon notre statut, l’AICT a deux langues de travail. En tant que francophone j’aimerais conserver au moins un semblant d’équilibre. 2 ou 3 membres francophones de Comité Exécutif et notre belle langue française retrouverait ses titres de noblesse.